dimanche 11 août 2013

Comment naquit mon fétichisme des bas nylons et de la lingerie (et quelques images ) : première partie

Mon amour des bas  commença lorsque j'étais au lycée, en seconde.
A cet âge, j'étais encore une femme en devenir: je connaissais déjà l'amour, et mes seins, mes hanches, mon sexe, n'étaient plus du tout ceux d'une enfant.

La mode des tailleurs stricts était en train de revenir pour peu de temps, y compris au lycée, et je ne m'imaginais pas en porter un, sans l'indispensable porte- jarretelles ou une guêpière, et surtout des bas.

C'était une évidence pour moi: le tailleur strict et féminin, soulignant la féminité, ne se concevait pas sans mes dessous d'un érotisme extrême: le tailleur devint l'écrin de mes dessous, et mes bas et ma lingerie fine prirent lieu et place de seconde peau...

D'ailleurs, il revient à ma mémoire l'épisode suivant: je revois cette jeune fille, enfourchant sa Peugeot 103, son gros casque sur la tête, vêtue d'un tailleur noir et de bas coutures noirs, avec à la base du talon , des petits motifs brillants desquels partaient le dessin des coutures noires... C'était moi, et je me dépêchais de me rendre à mon cours d'histoire, en prenant soin que ma jupe ne remonte pas trop au-dessus de ma mi-cuisse: provoquer oui, mais sans jamais sombrer dans la vulgarité, tout en suggestion et en délicatesse!
La femme en moi grandissait vite, et les vêtements que je portais accéléraient cette croissance.

Je devins fan de lingerie et de bas, je me mis à les collectionner, et de fait, à convoiter les plus jolies et coûteuses pièces: une très grande partie de mon argent de poche fut engloutie par mes nombreux achats: guêpières, porte-jarretelles, ensembles en dentelles et bas nylons précieux et coûteux prirent une grand place dans mon armoire, et dans ma vie...
Ma plus belle acquisition fut une guêpière noire en dentelle, avec de magnifiques broderies en soie turquoise ( soulignant parfaitement mes seins, mes hanches et ma taille) affublées de jarretelles en métal doré: une véritable merveille.

Puis, un événement capital .eut lieu dans ma vie de fétichiste en devenir, à cause d'une guêpière blanche.
En voici l'histoire ci-après...

Histoire de la guêpière blanche en soie : le "vieux riche" et l'amoureux

Le "vieux riche"
Un jour, à l'aube de mes 18 ans, un généreux prétendant, ami d'une amie de ma mère, afin de me conquérir, m'emmena dans une des luxueuses boutiques de lingerie de la galerie du Claridge, sur les Champs-Elysées: il avait trouvé le meilleur des arguments pour me séduire.
Et je craquai sur une guêpière d'une rare beauté: blanc cassé en très fine dentelle et broderies ton sur ton en soie, un trésor absolument inaccessible pour l'adolescente que j'étais. Je ne pus m'empêcher d'accepter ce présent, même si je signai à ce moment-là avec ce richissime monsieur, une sorte de contrat tacite: " Si tu acceptes mes cadeaux, tu deviens pour quelques heures ma chose" 

En réalité, je rêvais juste de porter cette guêpière pour mon amoureux de l'époque, un jeune travailleur social  que j'aimais passionnément, et pour lequel, à mon grand dam, tous ces artifices féminins n'avaient en réalité que peu d'importance !
Bref, ce jour-là, je succombai à la vénalité: je dévalisai la boutique, et suivis le monsieur tout émoustillé jusque dans sa suite d'un luxueux hôtels des Champs-Elysées.
Il me demanda d'essayer devant lui toutes les pièces de lingerie qu'il venait de m'offrir, et je m' exécutai fébrilement, sans aucun désir de lui, ni de lui plaire.

Lorsque je passai enfin ma belle guêpière blanche, que j'y accrochai mes bas de nylon blancs, il me caressa de la tête aux pieds, moi, assise sur une chaise molletonnée. Je fermai les yeux, pour m'extraire de ce moment, écoeurée, soucieuse d'honorer ce que je considérai comme un infâme contrat, des plus avilissants pour la jeune fille indépendante et libre que j'étais déjà.
ll me demanda ensuite de m'allonger et d'écarter mes cuisses, et me prodigua un long cunnilingus, à l'issue duquel je finis par exulter: j'en fus la première surprise en entendant s'échapper de mes lèvres un cri étouffé, rauque...

Bouleversée et écoeurée, cette fois de moi-même, je me levai, pris mes affaires (et bien entendu tous mes cadeaux ) et pris la porte en bredouillant un rapide "au revoir".
Et là, comble de l'humiliation, mon "vieux" et richissime libanais (de 45 ans!) me saisit doucement le poignet sur le pas de la porte, et me remit sans la main 3 billets de 500 francs (et oui! les francs, ça ne nous rajeunit pas:) puis me laissa filer...

Dans le taxi, mes emplettes sur les genoux, j'essayai d'oublier les heures qui venaient de s'écouler.
En rentrant, je déballai ma belle guêpière blanche pour lui faire rejoindre ses semblables triomphalement exposées sur des ceintres n'importe où dans ma chambre, tant mon besoin de les regarder et de les toucher, de me frotter les lèvres et le visage dessus à n'importe quel moment du jour ou de la nuit, était impérieux: j'étais devenue addict aux étoffes et à la dentelle, à la soie et au nylon... 

Seulement, et peut-être fut-ce du à l'aventure très mitigée que je venais de vivre, je ne pus trouver une "place" à ma nouvelle pièce de collection: ma belle guêpière blanche resterait donc dans son papier de soie, jusqu'à ce que je lui trouve SA place, et je m'endormis tant bien que mal, en essayant de ne plus penser à la façon indigne dans mon esprit de jeune fille, dont je venais de l'acquérir.

L'amoureux
Le lendemain soir, j'avais rendez-vous avec mon amoureux. Comme toutes les fois où nous devions nous retrouver, le rendez-vous était fixé tard le soir, chez moi.
Heureuse et oubliant un instant l'épisode du "vieux riche", je décidai (pour conjurer quelque chose, ou me purifier?) de porter pour mon petit copain ma nouvelle guêpière blanche, et l'honorai de magnifiques bas nylons blancs scintillants, ajoutai une culotte brésilienne assortie, et enfilai un joli kimono crème en soie brodée, afin de ne pas tout dévoiler de suite, bien que tout ce blanc fut (par trop) éclatant et ne laissait aucun doute sur mes intentions de me rendre irrésistible aux yeux de mon amour-amant.

Là où mon fétichisme naissant fut stoppé net et (je le crus longtemps) définitivement:

La suite de ce récit conditionna brutalement mon amour de la lingerie, et l'endormit pour longtemps.

Mon amoureux arriva en retard, comme toujours, et durant les heures qui précédèrent sa venue, j'avais passé un temps fou dans ma tenue blanche, à prendre diverses pauses devant ma glace, essayant des chaussures à talons (je n'étais pas encore fétichiste des talons hauts) dans lesquelles je ne parvenais pas à faire deux pas sans trébucher, les retirant, pour les remplacer par des bottes en cuir mais que je retirai aussitôt également (trop vulgaires).... Et ce petit cinéma, avec musique et tentatives d'effeuillages à l'appui, dura un petit moment, jusqu'à ce que mon petit copain sonnât enfin à la porte.

Fébrile et érotisée par des heures d'imagination et de multiples scenarii possibles, j'accourus ouvrir  la porte à mon amour, finalement déchaussée, en peignoir blanc court et bas blancs, avec lesquels tranchait certainement le rose de mes joues.

Il resta sans voix quelques secondes et perplexe...
 Moi,toujours fébrile et souriant nerveusement, j'attendais ses compliments lorsqu'il me lâcha cette phrase assassine, terrible, et si drôle à la fois, et qui changea le cours de ma vie, et que jamais je n'oublierai: 

" Mais où vas-tu habillée comme ça? Au carnaval ou à un bal masqué??" 

Et voilà comment la mini Lady Sue se prit son premier vent violent de plein fouet, et quel vent!!
Et voilà comment elle délaissa, pour de plus de deux décennies, son fétichisme de la lingerie.

Comme à cette époque je n'avais pas cette connaissance de moi, et l'assurance qui en découle, ma seule parade fut de m' effondrer en larmes, et de retirer brutalement tout ce qui m'habillait , en pestant fort et pleurnichant, hors de moi, sous le regard effaré de mon petit ami, qui ayant laissé deux jours plus tôt une douce et tendre amoureuse, découvrait avec terreur une hystérique, soudain nue comme un ver et gesticulant de colère... Dieu que je devais être "désirable" alors!!!  :-(

La suite, vous la devinez peut-être: je ne portai plus jamais de bas ni de lingerie sexy pour mon homme, ne répondis plus aux nombreux appels de mon "vieux riche", et vendis à mes camarades de classe toute ma lingerie, pour acheter à la place des jean's 501, des coupes-vents, des baskets, afin de suivre mon amour en randonnée à la montagne, et en canoé en eaux vives, ou encore à cheval (tout ce que je déteste aujourd'hui) et on ne reparla plus de cet épisode fâcheux, car je tenais plus à cet amour qu'aux dentelles et chiffons.

Raison ou tort? Peu importe, ce qui est vécu est vécu, et mon choix a été pour moi, à ce moment-là de ma vie, le meilleur choix pour moi.

J'imagine que l'épisode du "vieux riche" complété par celui de l'effet de la même guépière blanche sur mon petit ami (et ajoutée à cela mon immaturité), ont du s'imbriquer dans mon inconscient pour devenir la croyance suivante: lingerie= prostitution= sale= ridicule.
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Bien sûr, je n'en suis pas restée là, autrement vous ne seriez pas là, maintenant, à lire ces lignes!

A suivre, si ce récit vous a plu... Faites le moi savoir.

Fétichistement vôtre,
Lady Sue








12 commentaires:

  1. Je serais ravi de lire la suite :)

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  2. Matou, merci pour cet encouragement que je vais prendre au mot :-)

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  3. !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

    Juste magistrale.
    Intéressant, dérangeant, captivant, rebellant.
    Mon plaisir si particulier pour les bas, les portes-jartelles, les guépières et des brunes datent d'un New-look pris à mon père (qui ne savait pas les ranger) quand j'avais 13 ans..
    De cet évènement fondateur de ma propre sexualité découle diverses choses.
    Merci beaucoup de nous avoir fait partager ces deux évènements si intimes de ton existence.

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  4. Merci a toi, heimdall, de ta fidélité a ce blog ! Par ailleurs, il est toujours intéressant de connaître l'origine de certaines passions, et comme tu m'as un peu parlé de ton père (un sacré personnage !) ce que tu viens de raconter me rend ton petit récit encore plus vivant !

    Il est vrai que c'est la première fois que je parle vraiment de moi sur ce blog, je crois que j'avais tres envie de partager cela .
    À bientôt ! :-)

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  5. Bonjour ma chère amie,
    Au-delà du fond, j'ai pris un immense plaisir à lire votre récit, et m'immiscer une peu plus dans votre intimité.
    Mais qu'il est triste pour vous qu'une petite phrase ait eu tant de conséquences. Vous avez été privée de ces plaisirs si longtemps...
    Heureusement, vous vivez pleinement aujourd'hui votre passion, et cerise sur le gateau, vous la partagez avec nous. MERCI.
    Au plaisir de vous revoir très bientôt.
    M.

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    1. Ma chère Marcella, je suis ravie que ce récit vous ait plu .
      Je ne pense pas toutefois qu'il y ait quoi que ce soit a regretter par rapport au fait que j'aie décidé de cette "interruption " dans ma folie de lingerie .
      Comme je le dis a CUI en réponse a son commentaire (plus bas ), il s'agissait d'un objet transitionnel.
      Or, aujourd'hui, ayant appris a devenir femme a part entière, le motif de mon fétichisme est davantage choisi pour me sentir belle et séduisante, avec tout mon libre arbitre .
      L'interruption s'est faite car mes besoins a ce moment-là étaient bien différents de ceux que j'ai aujourd'hui, et mon petit ami de l'époque tenait une place importante, et d'une façon générale, aimait tout ce qui était authentique et naturel, et je l'aimais aussi pour cette raison.
      Dans la suite de mon récit, j'expliquerai également en quoi ce jeune homme n'a pas été l'unique cause de ma "pause" ....
      Je vous embrasse et a tres bientôt .

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    2. été ma reine nuit et jour toujours en hauts talons aiguilles bas voile de toutes les couleurs porte jaretelles guêpières et nous aurions fait l’amour nuit et jour dedans et dans des lieux publics je ne vous aurais moi pas supporté sans votre porte jaretelles vos bas voile 40 deniers vos guêpières contactez moi perpolo58@gmail.com je vous adore déjà

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  6. Oui, comme Heimdall, je trouve votre récit captivant.
    Et j'attends donc la suite même si on en trouve déjà des extraits ici même, publiés plus tôt !

    La langue française est parfois ambigüe. En lisant votre titre, j'imaginais que le « comment » allait décortiquer les tréfonds de votre âme. Un « pourquoi » en somme. Mais ce comment nous parle plutôt des circonstances.
    Savez-vous dire pourquoi, profondément, vous avez développé, si tôt, cette attirance ? (moi même, je crois être incapable d'expliquer les causes de cette attirance symétrique que je peux avoir sur la belle lingerie – à degré moindre du vôtre toutefois, dois-je humblement reconnaître).

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  7. Cher CUI, pour vous répondre, je pense que le fétichisme est un peu assimilable au "doudou" enfantin .
    En effet, on dit du doudou qu'il est un objet transitionnel dans le langage psy : il se substitue a la mère ou au parent s'occupant des besoins premiers de l'enfant , durant son absence .
    Pour ce qui me concerne, je suppose que c'était donc un doudou , mais vu mon âge, et la féminité naissante a ce moment -là, le transfert s'est porté sur la lingerie .
    Je le suppose car j'ai été livrée a moi même tres jeune, vers 14ans, et le nounours ou le tissu n'étaient donc certainement plus adaptés a mon âge !! :-)
    En tout état de cause, je m'en réjouis aujourd'hui, puisque contrairement a un doudou, mon fétichisme peut être partagé, et en contenter certain(e)s de façon certaine !

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    1. Bonjour,
      Pour ma part je pense que mon fétichisme est né bien avant, vers l’âge de 6 ans. Je suis né en 65. Ma mère portait au quotidien des bas nylons et plus tard des collants mais chaque jour ainsi que toutes les mamans et femme que j'étais amené à croiser. Vers l’âge de 5/6 ans, ma mère a arrêté de me prendre parfois avec elle dans le bain et du coup je ne la voyais plus nue et avait pratiquement plus de contact direct avec sa peau nue... enfant je jouais beaucoup avec tous ce que je trouvais, bricolais beaucoup etc. etc... Ma mère avais le reflex quand elle filait un bas ou un collant, de l’enlever comme ça direct et souvent me l’envoyait pour mes bricole et autre bêtises que je faisais avec mes Action Jo et Big Jim. Et je pense que c’est là que ma passion est née. Je pense que ce voile fin couleur chair un peu comme une mue ou une peau a remplacé ce contact direct que je n’avais plus avec ma mère.
      Les années se sont écoulées comme ça sans folie particulière. Toujours un plaisir à toucher cette matière.
      Plus tard au collège, ( en pleine adolescence et Explosion d’hormones ) j’ai eu une prof originaire des Cévennes et qui a voulu nous faire partager l’amour de sa région Ganges, Le Vigan (je rappelle au passage que cette région était la Capital Mondiale du Bas de soie et plus tard des Bas Nylons) et n’a rien trouvé de mieux que d’organiser une sortie scolaire de 3 jours vers le Mont Aigoual et nous avons visité en autre le musée du Bas de soie, une fabrique de Bas Nylon, les élevages de vers à soie etc. etc. etc.. Bingoooo. Me voilà replongé !! Et le pire dans tout ça, c’est que j’ai redoublé ma 5eme et donc l’année suivante, rebelote, je vous le donne en mille, j’ai eu droit au même programme.
      Depuis ma passion pour le vrai Bas Nylon, couture ou pas mais uniquement de vrai bas classique (pas de lycra ou autre Mousse)… ne m’a plus quitté. J’ai la chance d’être marié avec une femme charmante et féminine et qui a sans même une question épousé cette passion. J’ai la joie de la retrouver tous le soir en rentrant du boulot, toujours ces jolie jambes habillé de jolie Bas Nylon, hiver comme été car elle non plus ne peut plus s’en passer. Il m’arrive de lui dire durant de grosse journée de chaleur de ne pas en lettre mais non, dès qu’elle sort de sa douche elle lisse une paire de Bas voiles Nylon su ces jambes !!! Voilà pour ma petite histoire.
      Sincèrement

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  8. À la suite de votre récit et des nos quelques commentaires échangés, j'ai essayé de réfléchir à l'origine de mon propre fétichisme (sans trouver de réponse satisfaisante). J'ai toutefois exhumé le souvenir d'une rencontre étrange, lors d'une fête donnée chez moi (je devais avoir dans les 19 ans et j'habitais encore chez mes parents – absents ce soir-là). Une "amie" à moi était venue à cette fête quasiment uniquement vêtue d'une guêpière. C'était assez space (et je lui ai fait un meilleur accueil que votre petit copain de l'époque, eheh !).

    Par ailleurs, je trouve que c'est une excellente nouvelle que votre objet transitionnel soit la lingerie fine plutôt que les peluches (certaines femmes font le choix inverse, si, si !). Ce qui me rappelle une mauvaise blague :

    Une femme rencontre un très bel homme dans un bar. Ils parlent, font connaissance et finissent par partir ensemble.
    Ils arrivent chez lui, et il lui fait visiter son appartement. Elle remarque que sa chambre est remplie de petits nounours. Une centaine de petites peluches sur une étagère qui font toute la largeur du mur ; les touts petits oursons sur l'étagère du bas, les ours moyens, bien rangés sur l'étagère du milieu, et les immensément grandes peluches sur l'étagère du haut.
    La femme est surprise de savoir que cet homme a une aussi grande collection d'ours en peluche, elle ne montre pas son étonnement, mais elle est émue par la sensibilité de cet homme. Elle se retourne vers lui, ils s'embrassent, ils s'arrachent leurs vêtements et font l'amour passionnément.
    Après une nuit si intense en ébats et en émotions, ils sont couchés et avec l'esprit un peu dans le brouillard, la femme se retourne dans le lit et lui demande en souriant :
    - Alors, heureux ?
    Et l'homme lui répond :
    - Tu peux choisir n'importe quel lot sur l'étagère du bas.

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  9. Je comprends mieux pourquoi ma cave est remplie de peluches géantes !!! ;-))

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